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Along the Walk

DISCOllective et Mathilde Vrignaud marchent en arrière à travers la campagne slovène de Prekmurje, en suivant approximativement la rivière Ledava en Slovénie.

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Les marches se sont déroulées :

du 9 au 18 avril 2023, Slovénie

du 23 Août au 1er septembre 2023, Slovénie

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Conférence, workshop, performances sur la décélération dans les arts du spectacle (en anglais) du 15 au 20 Avril 2024, Berlin, Allemagne 

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inscriptions : https://alongthewalk.eu/conference/

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informations sur le workshop : Marche en arrière vers le théâtre inversé: https://alongthewalk.eu/conference/workshops/#backwards 

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ALONG THE WALK
Along the Walk est un projet international consacré au thème principal de la décélération. Il développe et explore de nouvelles formes de création artistique en accord avec les concepts de décélération, de sensibilisation à l'environnement, d'inclusion sociale, de dialogue interculturel et de travail collectif. Le cœur de ce projet se constitue de 14 marches artistiques à pied, menées dans des zones rurales par des duos d'artistes de 8 pays différents. Chaque duo artistique international effectue deux marches de 10 jours dans des zones rurales d'Allemagne, de Slovénie, d'Italie, de France et de Belgique. Ces marches sont à la fois les productions artistiques et les outils de recherche du projet. Elles permettent aux artistes-chercheurs de développer, de tester et d'analyser leurs méthodes performatives avec les publics qu'ils rencontrent tout au long de la marche.

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alongthewalk.eu

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TEGUMENTI (2020)

Performance

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Tegumenti  est un solo créé à l'occasion d'Osez Solo- Paris.  Un dispositif de Karine Ledoyen, Compagnie KparK avec les partenariats de Paris Culture 20 et le Regard du Cygne.

Un parcours dans le 20e à la découverte de trois solo de danse à l'occasion des journées du patrimoine - matrimoine le 19 Septembre 2020. 

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Les solos ont été repris dans le cadre du dispositif numérique Solo Prêt-à-porter : 

À Québec – 19 au 19 nov.2020 : Le Hobbit (700 Rue Saint-Jean)

À Montréal – 3 au 13 déc. 2020 : Odyssée Énergie (1601 av. du Mont-Royal Est)

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dansekpark.com/solospap-m-vrignaud

Ventre Souche (2020)

Vidéo-performance

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Ventre Souche est une vidéo-performance. La trace d’un dessin introspectif pour me relier à un besoin de rituel et de soin. J’y marque un passage important en tant que femme.

Un autoportrait où je dévoile un geste de plasticienne autant que de chorégraphe.

 

Mon ventre devient un ex-voto où a lieu une bataille de l’intime.

Être femme, cerne après cerne, cercle blanc après cercle blanc dans cet empilement d’identités ambivalentes toujours en quête d’être et d’être définie. Cercles imparfaits concentriques comme mon âge me reliant à mon histoire, à ma naissance et à ma généalogie.

marcher- tracer (2017-2020) 

Actions

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Un trait est apparu en 2017, une ligne que je déroule en dessinant ma marche. J’y trace les contours de mes pieds nus qui avancent pas après pas très lentement. Ma marche avance dans l’espace tout en alternant l’avant et l’arrière. Mon trait ne se soulève pas du sol et des supports sur lesquels mon corps s’appuie. 

 

J’ai d’abord, exploré en atelier des lignes en aller-retour sur différents supports puis en matérialisant des spirales que j’enroulais et déroulais. J’ai ensuite déplacé ce travail dans la rue. 

En extérieur, je démarre ces lignes comme une continuité de ma présence dans le paysage.

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J’ai cette sensation de marquer l’espace d’une présence qui est de l’orde d’une traversée, d’un passage. 

 

La ligne est  une mémoire, une trace, une suggestion. 

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Dancing with the tree (2019)

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Performance 

 

Une rencontre en Inde sur une invitation de l’Alliance Française de New Delhi et de l’Association Kalasetu. Pogramme entre performance musicale et dansée d’1h15 avec Mathilde Vrignaud (chorégraphe-performeuse), Sumitra Thakur (Cithare), Mahavir Chandrawat (Tablas), Stefania Beccheanu (paysage sonore). Ce programme, a été  joué à New Delhi à la Delhi Technological University ( College of engineering) et Gujarat University Amphithéâtre · Ahmedabad). 

 

Dans le contexte social et politique actuel des corps vivants fragmentés, cloisonnés, déterritorialisés par des aménagements urbains et des politiques néolibérales, Mathilde Vrignaud s’interroge comment en tant que danseuse ces environnements agissent sur sa personne physiquement et mentalement. Et comment inversement, elle peut répondre en tant qu’artiste chorégraphe à une nécessité de repenser le corps comme l’élément central d’une dynamique du vivant dans la ville.

Point(s) de fuite (2015)

Maquette chorégraphique et musicale

 

pour trois performeuses et un ingénieur en informatique musicale: Hélène Beilvaire, Sabine Rivière, Joana Schweizer & Benjamin Levy.

 

Présenté le 3 septembre 2015, lors des Fenêtre sur Cour(s) à l'Abbaye de Royaumont dans le cadre de la formation chorégraphique PROTOTYP 2 (la présence vocale dans la partition chorégraphique);  direction Hervé Robbe

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« Du souffle au vent, du sol où l’on se love à la posture assise et à la marche, le désir se fait note, les corps oscillent et le champ de vision s’ouvre comme un voile levé. Découvrir l’espace des sons, ses matières, mais aussi le mouvement. Travailler sur la voix comme lieu de passage, trouver le dispositif juste avec trois danseuses, un instrumentarium, une voix, un violon et leur mise en jeu. Le projet de Mathilde Vrignaud s’intéresse aux phénomènes de la présence, à ce qui surgit et disparaît, entremêlant écriture et improvisation. Ce lieu complexe du corps et de la voix prend des formes rapides inspirées par l’écriture poétique. Il cherche ses aires de franchissement, passant d’un seuil à l’autre, d’un statut à un autre, pour se déployer en toute liberté.» Irène Filiberti, Fenêtres sur Cour(s), Abbaye Royaumont, septembre 2015

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à butte les deux (2016)

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Extrait sonore

Performance

 

avec Charlotte Schumann et Mathilde Vrignaud

 

Trois espaces de performance entre l'intérieur et l'extérieur. Deux femmes jouent de la déformation du masque faciale et de la voix jusque le mot, l'écriture et le texte, jusqu' une danse des mains dans l'argile. 

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Présenté dans le cadre de BURN AFTER LISTENING, le festival expérimental des Laboratoires Frictions,  avec l'Abbaye de Royaumont et les enseignants de l'Ecole Nationale Supérieur d'Art de Paris Cergy. 

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Avec la participation vocale enregistrée de Timour Sadoullaiev

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