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La danse de l'arbre- Intérieur & Extérieur
 

Duo avec Stefania Becheanu et Mathilde Vrignaud.

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Nous sommes les arbres. Nous témoignons par la performance de notre désir de nous enraciner, de nous incarner et d’ancrer l’art dans nos vies. 

 

Nous partageons notre cheminement pour nous libérer de cette idée de nature fabriquée par l’homme qui sépare par la pensée les humains des non-humains. C’est l’idée de « ne pas posséder, mais d’être possédé soi-même par un milieu ». Tisser une intimité avec le vivant. Nous n’imitons pas la nature mais en étant cette nature, nous la donnons à voir.

 

« Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. » (Reporterre.net)

 

Nous pensons notre performance comme un paysage qui est à traverser par le spectateur. Comme des sculptrices, nous y laissons des vides pour lui, pour son implication imaginative. Nous créons un lien d’écoute. Nous sommes dans des silences, dans une présence brute, ciselée dans une introspection ténue.

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Nos précédentes périodes de création et de recherche:

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  • Du 1 au 13 Juin 2020 au Silo à Méréville 

  • Du 11 au 15 novembre 2019 Castel Coucou / Synagogue de Forbach : Une première étape de recherche avec une restitution publique sur un format de 20 minutes.

  • 29 juin et 20 juillet 2019 : Performances de recherche avec du public, lors des Scènes Furtives au parc Clichy-Batignolles - Martin-Luther-King et à La coulée verte, Paris.

  • 20 mai 2019 : Performance de recherche avec du public - Festival Metz est Wunderbar, avec l’association Prétexte WunderART!

Les  Urbaines TRANSHUMANCES
 

Traversées des langages et des paysages les Urbaines Transhumances invitent des habitants d’un quartier à rencontrer un collectif d’artistes pluridisciplinaires ( plasticiens, danseurs, poètes, musiciens) pour explorer leur ville, leur corps dans la ville.

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Ces marches longues sont une invitation à partager d’instant en instant sa sensibilité à l'environnement et partir à la quête du vivant.

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Elles se composent de plusieurs cellules d’expériences sensibles siestes méditatives et sonores, marches aveugles, poétiques, et plastiques.

 

Dans ces espaces se déploie du performatif: un hommage au corps, à l'être vivant en ville. 

Historique du projet:

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Entre 2015 et 2016, les Urbaines Transhumances sont en jachères. Avec le groupe de recherche, le projet qui se nomme alors Point(s) de vue entame des chantiers de mise en commun de réflexions de 2 à 3 jours au Pré Saint-Gervais sous la forme de temps de discussions, de ballades à l'échelle du quartier, d'écriture et de mise en jeux à partir de ses pistes d'exploration.

 

À l'automne 2016, les Urbaines Transhumances ont été accueillies  par le Collectif Warning sur la Villette, lors du Festival Pavillon Écarlate. 

Au printemps 2017, les Urbaines Transhumances accueil les poètes du Lieu Improbable en quête de l’Arbre et de l'eau.

A l'été 2017, les Urbaines Transhumances rejoignent le Festival Prenez Place, avec un départ au Doc où pour une sieste sonore avec l'artiste sonore Hém-Ish. 

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À partir du printemps 2019, les Urbaines Transhumances sont accueillies dans le quartier de la Maladrerie - Emile Dubois à Aubervilliers avec le soutien du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis. 

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Puis à l'automne 2019, avec la Maison de l'Emploi d'Aubervilliers dans le cadre d'un dispositif d'insertion professionnel pour les femmes.

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Puis lors d'une invitation de Léna Massiani en octobre 2019 lors de journées d'étude au CRESSON à Grenoble : "expériences chorégraphiques in situ et ambiances urbaines".

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